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Ce chapitre à pour but de montrer l'aspect de l'administration au quotidien d'un serveur Squid. Un proxy vit continuellement, d'autant plus s'il possède un cache. Il est donc primordial de pouvoir s'assurer de la bonne santé de chacun des organes de celui-ci.
Avant de lancer Squid pour la première fois, il est important de vérifier deux point basiques : Squid a-t-il les droits sur tous ses répertoires de travail ? Squid a-t-il un cache disponible ?
Pour son cache, nous avons vu que Squid utilisait une arborescence spécifique permettant d'affiner ses performance en recherche et un stockage sur disque qui lui est propre afin d'affiner ses performances en stockage / écriture. Il faut donc créer cette arborescence. Pour effectuer cette manoeuvre il faut éxecuter la commande sbin/squid -z qui se chargera de lire la configuration faite et créer l'arborescence en fonction de celle-ci
Example 4.1. Exemple de création d'un cache pour Squid
Sur ce screenshot, nous pouvons lire le nombre de répertoires créée lors de la création du cache.
Ici, notre cache est configuré pour avoir 16 répertoire de niveau 1 et 256 de niveau 2, soit 16+16*256=4112 répertoire, ce qui est bien la valeur trouvée après création du cache.
Une fois ces actions effectuée, nous pourrons lancer Squid avec la commande sbin/squid.