Le
principe est clair : nous acceptons une dégradation de l’image décompressée -
indiscernable à l’oeil ou suffisamment faible pour être acceptable - en
contrepartie d’un taux de compression beaucoup plus intéressant.
L’une
d’entre elle, représentée par l’algorithme JPEG, a occupé le devant de la
scène depuis quelques années en raison de ses performances et de la facilité
de son implémentation sur micro. Cette situation est trompeuse et d’autres
méthodes déjà connues (ondelettes et fractales en particulier) vont s’imposer
dans les années qui viennent. Il
est difficile de prédire ce qui interviendra ensuite mais d’autres voies de
recherche sont explorées (utilisation des réseaux neuromimétiques par
exemple).
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